L'Union fait la force face aux agissements de la CIPAV.

Anne-Laure Chouin

  • ❖ CIPAV : quand la retraite tourne au cauchemar (France Inter)

    Cipav france interUne enquête d'Anne-Laure Chouin, émission du vendredi 13 mai 2016

    Une caisse de retraite qui marche sur la tête : assurés qui mettent parfois des années à voir liquider leurs pensions, demandes d'arriérés indus, parfois pour des sommes folles… Les adhérents de la Cipav, caisse de retraite complémentaire, se retrouvent parfois dans ses situations incroyables. Au point que la Cour des Comptes y a plongé son nez en 2012, avec à la clé un rapport au vitriol.

    Prendre sa retraite, rien de plus simple. Vous cotisez pendant votre vie active, et lorsque vous arrêtez de travailler, vous recevez de l’argent de votre caisse de retraites, et de ce qu’on appelle une caisse de retraite complémentaire… Mais cette action si simple peut aussi prendre des allures de cauchemar.

    Reportage courte durée (1 min 33 sec):

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  • ❖ Menaces, courriers farfelus... quand une caisse de retraite déraille complètement (France Info)

    Cipav france info  Secrets d'info   par Anne-Laure Chouin - 13 Mai 2016

    Une caisse de retraite qui envoie des lettres hallucinantes à ses adhérents, menace avec des huissiers à tout-va et affiche une gestion catastrophique... Cette caisse, c’est la Cipav, qui fédère les architectes et plus de 300 professions libérales. En enquêtant, Anne-Laure Chouin a découvert qu’il s’y passe de drôles de choses…

    Cipav courrier caisse retraite devenue cauchemar

    (Un des courriers incohérents envoyés par la Cipav à ses adhérents.)

    La Cipav est une caisse de retraite de professions libérales. C'est surtout un cauchemar pour ses adhérents. La Cipav  accumule en effet les erreurs. Les adhérents reçoivent des demandes incompréhensibles demandant des sommes injustifiées. Et les courriers s’accumulent dans cet organisme dont les employés ne savent plus où donner de la tête...

    A Orléans, par exemple, on refuse de verser sa retraite à un adhérent parfaitement en règle : il l’attend depuis 14 mois. A Bordeaux, on demande 9 000 euros d’arriérés déjà payés à un autre affilié, qui ne sait plus quoi faire.

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