L'Union fait la force face aux agissements de la CIPAV.

Malgré une perquisition et l'ouverture d'une information judiciaire, la MAFIA CIPAV continue à régner sur la Caisse....

  • Par cipavinfo
  • Le mercredi, 25 janvier 2023
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Depuis la parution des rapports de la Cour des comptes de 2014 et 2017, il n'y a que les administrateurs et les dirigeants de la CIPAV pour croire qu'ils ne sont pas responsables de la gestion désordonnée et du service du service déplorable aux adhérents de la Caisse.

Depuis huit ans, aucune des préconisations de la Cour des comptes ou autres conseils n'ont été pris en compte par les dirigeants de la CIPAV et force est de constater qu'ils n'ont jamais fait d'excuse ou entrepris la moindre démarche pour rembourser les adhérents victimes  y compris quand la cour de cassation s'est prononcé en faveur des adhérents comme ce fut le cas pour la minoration illégale des points retraite ou la gestion illégale des cotisations complémentaires.

Maintenant notre collectif apprend par un article du Figaro (voir  article-du-figaro-.pdf )  que le siège social de la CIPAV a été perquisitionnée et que le parquet national financier (PNF) ouvre une information judiciaire à l'encontre de la CIPAV pour « escroquerie en bande organisée, concussion, faux et usage de faux ».

Face à cette situation gravissime, il apparaît opportun de mettre sous tutelle indépendante (hors administration ou cipav)  la Caisse afin qu'elle puisse être géré dans de bonnes conditions et surtout permettre la réalisation d'un audit sincère sur sa gestion désordonnée toutes ses années afin que l'on puisse connaître la réalité des faits.

Malheureusement les dirigeants de la CIPAV refusent une nouvelle fois le dialogue et n'hésite pas à insulter ou diffamer notre collectif de victimes.

Dans l'article du FIGARO, il est notamment indiqué que le nouvau Président du conseil d'administration de la CIPAV, Armand Gersanois, déclare que notre association de victimes multiplie "les fakes news".

Concernant Monsieur Gersanois et les dirigeants de la CIPAV c'est pitoyable de constater qu'ils en sont encore à parler de FAKE NEWS alors que le siège social vient d'être perquisitionné par le parquet national financier.

Pire, Armand Gersanois n'hésite pas à duper les lecteurs de cet article en déclarant : « L’écart de prix portant sur la vente d'un des immeubles parisiens s'explique. Le nouvel acquéreur avait fait des travaux qui ont valorisé le bien. Raison pour laquelle il a pu le vendre bien plus cher. Rien d'anormal à cela ».

Face à ce mensonge flagrant, notre collectif affirme qu'il n'y eu strictement aucun travail d'effectué pour justifier cette plu value miraculeuse.

Pour ce faire, il aurait fallu à minima que l'acquéreur dépose un permis de construire avant de revendre le dit immeuble.

Par ailleurs, si les propos d'Armand Gersanois n’étaient pas mensongers, la question se poserait de savoir pourquoi la CIPAV n'a pas effectué les dits travaux pour valoriser cet immeuble puisque l'acheteur a pu soit disant le faire en moins de trois mois et revendre cet immeuble sans avoir à payer de commission jackpot (600 000€) à l'intermédiaire exclusif choisie par la CIPAV ?

Ce qui est certain c'est que le préjudice des adhérents de la Caisse pour la vente de cet immeuble est au total de cinq millions trois cent mille euros (manque à gagner + commission jackpot).

Pour tenter de justifier cette vente au moins offrant les dirigeants de la CIPAV parlent de FAKES NEWS, par la voix de leur nouveau président, ce qui est totalement hors de propos et contraire aux intérêts des adhérents

Le préjudice de l'immeuble de l'immeuble de la rue Boissière n'est malheureusement pas isolé car les dirigeants de la CIPAV s'acharnent à vouloir vendre des immeubles de bons rapports, situés dans le triangle d'or de la Capitale, pour acheter des immeubles plus chers et moins rentables.

Que l'on arrête de prendre les adhérents pour des imbéciles car le panier de crabe du parc immobilier de la CIPAV remet en cause l'intégrité de la caisse puisque il n'y pas eu d'appel d'offre pour le choix de l'intermédiaire et qu'il n'y a pas au sein de la caisse une commission des marchés pour contrôler, réguler, et valider ses pratiques.

Il est surprenant de constater après ses ventes qui ne respectent pas les pratiques immobilières comme le refus de faire visiter les immeubles à certains acheteurs potentiels et à en privilégier d'autres, voici que la CIPAV va utiliser les mêmes intermédiaires pour cette fois acheter un immeuble très cher et d'une rentabilité moindre.

Comme cet achat est plus important pour les dirigeants que l'intérêt des adhérents, il va être évoqué lors du conseil d'administration de demain (25/01/2023) alors que la question de savoir si les dirigeants de la CIPAV, son directeur François Clouet, son président Armand Gersanois ont encore la moindre légitimité au sein de la Caisse, n'est même pas posé.

Alors que la CIPAV est accusé publiquement par la justice et des adhérents victimes d'escroqueries en bande organisée, faux en écriture, usage de faux, élections frauduleuses et concussion, il est hors de question de permettre aux responsables de ses infractions de continuer à sévir, à diriger ou à travailler au sein de la Caisse.

Il y a aussi d'autres sujet important que notre collectif a mis aussi en exergue comme le fait que les réserves financières de la CIPAV sont en danger à cause du cumul des fonctions de Kevin Cepa* et du management de François Clouet, actuel directeur. Il y a notamment un milliard d'euros d'actifs sur les comptes courant de la CIPAV, ce qui ne rapporte rien aux adhérents et constitue une faute grave de gestion, une véritable honte pour la CIPAV.

Quand on subit les cotisations obligatoires et les petites retraites de la Caisse, chacun comprendra que cela donne envie de HURLER DE RAGE.

D'autre part, notre collectif répète à qui veut l'entendre qu'il est nécessaire de parler de la soulte des adhérents auto entrepreneurs de la CIPAV et des autres sujets qui fâche l'URSSAF et la DSS car on parle de plusieurs milliards d'euros de préjudice pour les adhérents de la CIPAV.

Face à cette situation qui s'aggrave, le préjudice d'anxiété grandissant des adhérents, les risques psycho sociaux des salariés de la Caisse et la détermination des dirigeants de la CIPAV à rester auxcommandes, il va falloir que des décisions soient prise rapidement pour mettre fin à ses dérives d'un autre âge car ce n'est pas aux adhérents victimes de baisser la tête ou de payer le préjudice de ses infractions.

Que les choses soient claires pour tout le monde, ses pratiques douteuses et fallacieuses ne peuvent normalement pas avoir lieu car c'est l'état français qui est garant du bon fonctionnement de la CIPAV et de toutes les autres caisses de retraite.

Par conséquent, les autorités compétentes et plus particulièrement le Ministère de la Santé ( via DSS IGAS et MNC) devraient apporter des réponses claires et sincères aux accusations portés à l'encontre des dirigeants de la CIPAV ou de sa Tutelle, plutôt que de se satisfaire de l'omerta ou des mensonges de ses responsables.

Notre collectif s'étonne sincèrement que rien ne soit entrepris par la tutelle de l'état pour mettre fin aux dérives de la CIPAV.

C'est totalement incompréhensible et réellement injuste.

Concernant les dirigeants de la CIPAV, il faut comprendre que leur responsabilité est pleine et entière depuis toutes ses années.

A ce sujet, si demain lors du conseil d'administration la majorité des dirigeants de la CIPAV ne décide pas la mise sous tutelle indépendante de la Caisse mais aussi et surtout de se porter partie civile pour les infractions qui ont motivé la perquisition du siège social et des bureaux de la direction par le parquet national financier, c'est qu'ils sont complices des faits car c'est impensable et contre les usages de ne rien faire.

Pour rappel, la CIPAV et ses dirigeants ont toujours refusé de se porter partie civile contre les condamnations ou les infractions de ses dirigeants (ex Messieurs saunier durin selmati, escourrou castans,..), y compris lors du vol des chèques de cotisation des adhérents pour un montant de huit cent mille euros et qui reste à ce jour toujours impuni.

Logiquement, la justice va suivre son cours mais dans l'attente des jugements à venir, il est temps de mettre fin à ce micmac dés à présent.

Yann Franquet, président de cipav info

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